• Paysage imaginaire

    Bonjour bonjour

    pour ce paysage sorti de mon imagination: intégration d'une photo perso (lit de la rivière Verzasca, Tessin, Suisse), aquarelle et acrylique .

     

    Paysage imaginaire

     Merci de votre passage, je vous lirai avec grand plaisir

     

    Notez aussi que ma connexion internet actuelle est trop poussive pour me permettre de visiter vos blogs, mais ce n'est que temporaire...

     

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 10 Mai 2015 à 08:06

    J'aime beaucoup les couleurs d'un petit matin qui se lève sur la rivière !!! Biz

    2
    Dimanche 10 Mai 2015 à 10:33

    Bonjour Miryl, quel plaisir de découvrir ce splendide paysage "imaginaire"

    Il est transparent, calme et reposant...

    Un endroit de charme ou il doit y faire bon...

    L'aquarelle donne un charme fou à ta réa et l'ensemble ravissant.

    C'est très beau.

    Bravo.

    Biizzzz

    3
    miriam34
    Dimanche 10 Mai 2015 à 10:54

    rôôôôôôôôôôô!!! une merveille cette aquarelle la photo est si bien fondue qu'on ne se doute pas qu'il y en a une , vraiment ces tons sont si naturels qu'ils semblent plus vrai que nature , je le redis tu es trop forte.

    Bises et Bon dimanche , ici un soleil un peu mitigé mais chaud.

    Miriam34

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    4
    Dimanche 10 Mai 2015 à 16:54

    tu réussis à merveille ces effets de transparence et de relief, j adore! bises

    5
    Dimanche 10 Mai 2015 à 21:39
    Patchacha

    Ton paysage est superbe ! Imaginaire peut-être, mais on aimerait s'y arrêter pour s'y reposer... Bizz

    6
    Lundi 11 Mai 2015 à 07:38

    toute douce, on a envie de s'y reposer , d'y réver

    tu as su associer photo avec quarelle superbe travail

    bizzz

     

    7
    caramelle
    Jeudi 25 Juin 2015 à 18:54

    magnifique : bravooooooo!! j'adore (comme toujours) bisous

    8
    Vendredi 6 Novembre 2015 à 02:07

    Les arbres en arrière fond se tordent lançant des pâmoisons grises

    Tandis que le ciel s'essaie au vert comme si le temps n'était déjà pas assez à l'envers

    Un pêcheur arrive et cherche à s'installer sur les bords de la rivière

    Quand une poignée de pierres se met à se dandiner,

    Puis à se chamailler si fort qu'elles en viennent à se transformer.

    Quelle n'est pas la surprise de notre homme quand il constata qu'à ainsi se crisper,

    Les pierres obtiennent presque figure humaine.

    Il détala, ma foi, sans demander son reste.

     

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